Université de Waterloo
Scientifiques, chercheurs, ingénieurs… Ils sont légion au gouvernement, dans les universités et les organismes apparentés comme les services de conservation à recueillir sans relâche des données sur l’environnement, dans l’espoir de mieux comprendre comment le monde qui nous entoure évolue et de prévoir ce que l’avenir nous réserve. Ces données sont extrêmement précieuses. Plus encore aujourd’hui, maintenant que la planète traverse des changements sans précédent. Malheureusement, aucun dépôt bien structuré n’archive ces données en vue d’un usage futur. Souvent, après avoir joué leur rôle, elles échouent donc dans un classeur ou les entrailles d’un ordinateur, auxquels d’autres chercheurs ou organisations n’ont pas accès. Résultat? Les scientifiques recueillent les mêmes données à nouveau, ignorant que des informations anciennes dorment quelque part et ne pouvant les exploiter.